Quand on parle de moto autonome, on peut faire référence à sa capacité de réservoir. Mais dans notre contexte, il s’agit bel et bien d’une deux roues qui roule toute seule à l’aide d’une intelligence artificielle.
Contrairement à une entreprise conventionnelle, une jeune pousse ou startup a un business model un peu différent. Souvent basée sur la rénovation et la technologie, avec une startup, c’est souvent quitte ou double.
Travailler dans une jeune pousse pourrait procurer de nombreux avantages surtout pour les jeunes diplômés. Toutefois, il est important de noter que dans ce type d’entreprise tout ne serait pas toujours rose. Effectivement, derrières ses atouts se cachent bien de nombreux inconvénients.
D’après les estimations de l’ONU, 66% de la population mondiale vivront en zone urbaine en 2050. De ce fait, il serait fort probable que dans ce futur proche, la disposition des plus grandes agglomérations ne seraient plus telle qu’on connaisse aujourd’hui.
Une startup ou une jeune pousse est une idée d’entreprise qui se base sur l’innovation et la créativité. En France, pour cette année 2019, 15 startups se sont particulièrement démarquées. Grâce à leurs idées originales et innovatrices, elles ont pu lever des fonds à hauteur de plusieurs millions d’euros.
Les startups françaises les plus performantes de l’année 2019 ne sont pas telles qu’elles sont aujourd’hui sans financement. Pour une jeune pousse, rien que pour le prototypage, il faut un investissement qui peut aller jusqu’à 10 000 à 20 000 euros. Et pour la phase production, elle peut demander des centaines de milliers d’euros voire même des millions.
Grâce à leurs concepts innovants, des centaines de jeunes pousses françaises ont pu réunir des millions d’euros. Pour Hoppen par exemple qui est une startup spécialisée dans la santé, elle a pu réaliser une levée de fond de 32 millions d’euros.
L’autoconsommation collective est un concept qui intéresse actuellement de plus en plus de français que ce soient des particuliers ou des entreprises. En résumé, elle consiste à répartir une partie ou la totalité de l’électricité produite par une entité entre un ou plusieurs consommateurs.
L’autoconsommation renferme de nombreux avantages. Déjà, vous n’avez plus à vous soucier de vos factures d’électricité. Aussi, si votre consommation est inférieure à votre production, vous pouvez vendre le surplus à EDF en raccordant vos installations à leurs réseaux de distribution.
L’autoconsommation électrique intéresse aujourd’hui de plus en plus de français. Rien qu’en 2017, on estime près de 20 000 foyers qui se sont convertis dans cette transition énergétique. Selon les estimations, en 2030, environ 4 millions des français produiraient eux-mêmes leur électricité. Mais la grande question qui se pose se porte sur le fait si c’est réellement rentable ou non ?